A partir de 2000, Estelle Lagarde commence à cultiver une passion pour la photographie qui l'amène à créer des photographies dans lesquelles les images en noir et blanc capturent des correspondances étroites entre des personnages, des paysages ou des lieux, et des humeurs spécifiques. Cela conduit à une perception de l'élément indéfini et profond présent dans les sujets représentés. Estelle exerce toutes ses compétences techniques pour trouver le bon point de vue d'où émergeront les images évoquant certaines émotions.
Avec Femmes intérieures son travail se concentre sur le portrait de lieux qui changent au fil du temps, également photographiés en couleur. Maisons vides, bâtiments abandonnés, isolement et délabrement, dus au passage du temps, sont mis en scène pour montrer leur histoire et leur fragilité de manière émouvante.
From 2000, Estelle Lagarde starts to cultivate a passion for photography that leads her to create photographies in which black and white images capture close correspondences between characters, landscapes, or places, and specific moods. This leads to a perception of the undefined and profound element present in the depicted subjects. Estelle exercises all her technical skills to find the right point of view from which to abstract with her camera costrasting images that evokes certain emotions.
With "Femmes intérieures" her work focuses on the portrait of places that change as time goes by, now also photographed in colour. Empty houses, abandoned buildings, isolation and decay, due to the passage of time, are staged to show their story and frailty in a moving way.